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Des chercheurs allemands pourraient détenir la preuve que l'univers est un hologramme...

   " Des scientifiques allemands ont essayé de comprendre pourquoi leur équipement de mesures des ondes gravitationnelles a ce son si particulier.

 

 Ils ont découvert qu’une des réponses possibles est que l'univers entier est une illusion holographique.

 

 Depuis de nombreux mois, l'équipe-membres du GEO600 se gratte la tête devant le bruit inexplicable qui sévit dans leur détecteur géant.

 

 Mais un chercheur approche une explication, et elle est étonnante!

Celui-ci avait même prédit le bruit avant qu'il ait été détecté.

 

 Selon Craig Hogan, un physicien du Fermilab du laboratoire de Batavia, dans l’Illinois, et spécialiste de la physique des particules, GEO600 a trébuché sur la limite fondamentale de l'espace-temps - au point où l'espace-temps s'arrête et se dissout en grains comme le décrit Einstein,  tout comme une photo de journal se dissout en grain quand vous zoomez - GEO600 a été secoué par les convulsions microscopiques de l'espace-temps », explique Hogan.

 Hogan qui vient d'être nommé directeur du Centre d'astrophysique de Fermilab, de poursuivre :  «Si les résultats sur le GEO600 sont vrais, alors nous sommes tous vivants dans un hologramme géant cosmique. "

 

 L'idée que nous vivons dans un hologramme est absurde au  premier regard, mais c'est un prolongement naturel de notre meilleure compréhension des trous noirs.

 

 Les hologrammes que vous trouverez sur les cartes de crédit et des billets sont gravés sur des films plastiques en deux dimensions. Lorsque la lumière rebondit sur eux, elle recréé l'apparence d'une image 3D. Dans les années 1990 les physiciens Leonard Susskind et le prix Nobel Gerard 't Hooft ont suggéré que le même principe pourrait s'appliquer à l'univers. Notre expérience quotidienne pourrait être en soi une projection holographique de processus physique qui se déroule sur une distance, de surface 2D.

 L'interféromètre GEO600 est un projet germano-britannique d'interféromètre de type Michelson, construit près de Hanovreen en Allemagne.

 

 Il est destiné à détecter d'éventuelles ondes gravitationnelles dont le passage serait susceptible de modifier de façon infime la longueur des bras de l'interféromètre. Dans le but d'augmenter la longueur de ces bras, on utilise deux cavités de type Fabry-Perot dans chaque bras.

 

 L’observation des ondes gravitationnelles est destinée à compléter de manière importante l’observation des ondes électromagnétiques (ondes lumineuses, radio et micro-ondes,rayons gamma et X) ainsi que des astro-particules (rayons cosmiques, neutrinos).

 

 Leur étude permet de révéler des aspects de l’univers jusqu’alors inconnus et d’étendre le domaine d’observation jusque dans les régions assombries par la poussière et masquées par d’autres phénomènes.

Holometer

 

 

 The name “holometer” was first used for a surveying device created in the 17th century, an “instrument for the taking of all measures, both on the earth and in the heavens.” Hogan felt this fit with the mission of his “holographic interferometer,” which is currently being developed at Fermilab’s largest laser lab.

 

 In a classical interferometer, first developed in the late 1800s, a laser beam in a vacuum hits a mirror called a beamsplitter, which breaks it in two. The two beams travel at different angles down the length of two vacuum pipe arms before hitting mirrors at the end and bouncing back to the beamsplitter.

 

 Since light in a vacuum travels at a constant speed, the two beams should arrive back to the mirror at precisely the same time, with their waves in sync to reform a single beam. Any interfering vibration would change the frequency of the waves ever so slightly over the distance they traveled. When they returned to the beamsplitter, they would no longer be in sync.

 

 In the holometer, this loss of sync looks like a shaking or vibrations that represent jitters in spacetime itself, like the fuzziness of radio coming over too little bandwidth.

 

 The holometer’s precision means that it doesn’t have to be large; at 40 meters in length, it is only one hundredth of the size of current interferometers, which measure gravitational waves from black holes and supernovas. Yet because the spacetime frequencies it measures are so rapid, it will be more precise over very short time intervals by seven orders of magnitude than any atomic clock in existence.

"The shaking of spacetime occurs at a million times per second, a thousand times what your ear can hear,” said Fermilab experimental physicist Aaron Chou, whose lab is developing prototypes for the holometer. “Matter doesn’t like to shake at that speed. You could listen to gravitational frequencies with headphones.”

 

 The whole trick, Chou says, is to prove that the vibrations don’t come from the instrument. Using technology similar to that in noise-cancelling headphones, sensors outside the instrument detect vibrations and shake the mirror at the same frequency to cancel them. Any remaining shakiness at high frequency, the researchers propose, will be evidence of blurriness in spacetime.

 

“With the holometer’s long arms, we’re magnifying spacetime’s uncertainty,” Chou said.

Existe-t-il un Univers Parallèle..?

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